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Loire & biodiversité

Loire & biodiversité

Pour vous, nous illustrons ici l'exceptionnelle biodiversité que l'on peut rencontrer près de la Loire à Mardié, et plus largement dans le Val de Loire du Loiret ; biodiversité remarquable... mais hélas menacée par un absurde projet de déviation routière datant du siècle dernier, avec franchissements du grand fleuve. Notre association MARDIEVAL s'y oppose durablement (voir notre site http://le-castor-enerve.fr/). Nous avons entrepris de valoriser ces richesses naturelles, et nous refusons qu'elles soient inutilement détruites !

Publié le par Jim
Publié dans : #Observations

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9/06/2012 - Long ballet de trois Cigognes blanches  observé au dessus de Latingy vers 8h 45.

Elles se rapprochent du Grand bois, au point qu'on peut se demander si elles ne s'intéressent pas à l'aire des Balbuzards pêcheurs ! Mais non, le nid est d'ailleurs déjà occupé, comme cela va se confirmer...

 

Et les élégants échassiers glissent vers la forêt d'Orléans.

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6/06/2012 - Alors que nous observons deux Balbuzards pêcheurs, un Héron pourpré survole la Loire et disparaît sur le coteau entre Saint-Denis-de-l'Hôtel et Mardié.

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A noter une position en vol inhabituelle, les Hérons se déplaçant en général avec le cou replié en S.

 

ATTENTION : avez-vous bien reçu l'article "Aire Balbu de Latingy : nouveau locataire" ? Une partie des messages d'avertissement semblant ne pas être arrivée, rendez-vous directement sur le blog...

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité

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7/06/2012 - Après la fin de l'épisode Chouette hulotte, il y avait eu une petite séquence animée du côté de la plateforme du Grand bois (notre épisode Que sont nos ami(e)s (Balbuzards et hulottes) devenu(e)s ? ).

 

Ces derniers jours, la Loire ayant retrouvé un peu de tranquillité (même si la décrue n'est pas stabilisée), les Balbuzards pêcheurs en maraude ont réapparu.

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Les passages à basse altitude d'un individu venant du Grand bois, par exemple vers 6h 30 du matin ; et s'y dirigeant en plein jour, même non chargé, nous ont alerté sur la présence possible d'un nouveau "locataire" du nid.

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Vérification dès le 7 juin vers 17h : la silhouette familière se découpe en contre-jour, posée sur l'aire.

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L'oiseau est sur la Loire dès l'aube du 8/06 : nous allons l'attendre dans la tente-affût. Retour (bien) chargé vers 7h 30.

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Le poisson se débat encore vigoureusement et, allié au vent violent, réussit parfois à faire douter l'équilibriste.

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Mais son combat est vain, d'autant que, prudemment, le Balbuzard va finir par continuer son repas sur la plateforme.

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Bon, bon, ça va... On n'a pas voulu te vexer !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité

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Avec le retour (tardif mais probable) des chaleurs estivales, nous allons rencontrer à nouveau les reptiles : ces animaux à sang froid recherchent une exposition au soleil.

Ainsi cette Coronelle lisse (Coronella austriaca) vient depuis quelque temps, tous les matins ensoleillés, s'exposer au Belvédère Genevoix du Mont avec deux de ses compagnes. C'est la première identification de cette espèce sur notre territoire.

 

Rassurez-vous, vous ne craignez rien : ce n'est que ce que l'on appelle en langage vernaculaire une couleuvre, parce que ce reptile n'est pas venimeux.

 

Par contre, ce tout jeune Lézard vert qui fréquente les mêmes lieux ferait bien, lui, de se méfier :

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il constitue une proie idéale pour les Coronelles, qui peuvent aussi manger des petits serpents ou des petits mammifères.

 

Manger les autres ou être mangé, telle est la loi de la nature sauvage dont ce papillon est  victime !

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Mais en attendant, nous, humains, ne risquons pas d'être mangés ! Si par hasard nous les dérangeons, tous les serpents, même venimeux, chercheront avant tout à nous fuir.

Il faudrait donc un vilain hasard pour que la rencontre se passe moins bien. Evidemment, si on se promène en "tongs" dans des brousailles ou sur des pierriers, on peut mettre le pied sur une Vipère et se faire mordre. Les morsures venimeuses sont extrêmement rares et se soignent. La mortalité dans un pays comme la France est insignifiante (probablement un mort par an en moyenne), très inférieure à la mortalité par piqures d'insectes (Guêpes, frelons etc.)... et à la mortalité routière.

 

Il n'y a donc aucune raison de craindre les reptiles chez nous, ce qui ne dispense pas d'être précautionneux !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Observations

Pour tout vous avouer, lorsque nous avons mis en ligne la photo-mystère, nous n'avions pas la réponse... définitive à la question subsidiaire. Tout au plus quelques hypothèses provisoires, mais qui ne vont pas trouver de confirmations.

Le 2/06, nous n'avions pas mieux que ça comme photo de la loge :

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Mais récapitulons : que s'était-il donc passé depuis le début de l'histoire ?

- Le 14/05, nous avions photographié le Pic épeiche venant y nourrir sa progéniture, au moins un petit.

- Dès le lendemain, les allées et venues avaient déjà cessé : les Pics avaient abandonné la loge.

- Le  1/06, en passant dans le chemin, nous avions vu et photographié l'Etourneau sansonnet accroché sous le trou, y passant la tête, et finalement y rentrant. Un congénère voletait sur des branches voisines.

- Le 2/06, les photos de la veille manquant de netteté, nous étions retournés dans l'idée de photographier l'Etourneau. Mauvaise pioche : à la sortie du trou, c'est une Sittelle torchepot qui se pointait, un sac fécal au bec. Pas le temps de placer le compact pour "digiscoper" : l'oiseau était déjà parti. Tout était prêt pour son retour, mais la lunette était réglée pour une pose par le bas du trou : mauvaise pioche à nouveau, la Sitelle s'étant posée au dessus du trou ! Le temps de recadrer, il était trop tard.

- Et puis : plus rien ! "Rien de chez rien", comme disent nos ados, malgré plusieurs affûts prolongés.

 

L'interprétation tentée par Dominique Deberne a été là aussi la plus fine :

Le 3/06 : "4/ activité en cours : nourrissage des jeunes"

Puis le 4/06 : "j'aimerais corriger ma réponse à la question 4 : la chambre ronde étant encore occupée par les jeunes pics épeiche dans votre article du 18 mai, il n'y a donc qu'une quizaine de jours, j'opte plutôt pour la couvaison des oeufs par la femelle étourneau (et non le nourrissage des jeunes comme dans ma 1ère réponse d'hier).

 

La présence de la Sittelle évacuant le sac fécal, que vous ne connaissiez pas, pouvait résulter d'une installation à la mi-juin dès le départ des pics, suivie d'une ponte et d'une incubation de 13 jours. La Sitelle torchepot occuppe classiquement les loges de Pics pour sa nidification.

L'Etourneau est omnivore. A-t-il commis une prédation sur les petits - et/ou les oeufs - de la Sitelle, répétée et terminée le lendemain ?

 

Le mystère subsistera...

 


 

Dominique Deberne a répondu le 3/06 à 13h 30 :

1/ il s'agit d'une écorce de chêne   >> Exact
2/ c'était précédemment une loge de pic épeiche    >> Exact
3/ il s'agit d'un étourneau sansonnet  >> Exact.

Il est donc le gagnant du Jeu.

 

Pour le moment, pas encore de "Super-gagnant" !

 

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Vous la réclamiez, vous l'avez : une nouvelle Photo-mystère !

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En recherchant dans les articles précédents de MARDIEVAL biodiversité, il vous faut répondre avec exactitude aux questions suivantes :

- A quelle espèce d'arbre appartient cette écorce ?

- Quelle espèce animale fréquentait les lieux précédemment ?

- A quelle espèce animale avons-nous ici à faire ?

 

Le(la) gagnant(e) sera le(la) premier(e) à avoir donné les trois bonnes réponses. 

Vos résultats sont à envoyer par courriel à l'adresse le-castor-enerve@orange.fr  .

 

Sera désigné  super-gagnant celui ou celle qui aura répondu avec exactitude à la question subsidiaire suivante :

- Que se passe-t-il actuellement dans la chambre ronde ?

Seul le super-gagnant pourra venir chercher un Cadeau-surprise !

 

Bonne chance à tous !

Trop de chance au Super-gagnant !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité

 

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26/05/2012 - Après une longue période de hautes eaux, la Loire était presque revenue à un niveau d'étiage ; mais le 23, les niveaux ont à nouveau augmenté, et la montée rapide a duré trois jours avant de se stabiliser.Disparus, les ilôts et les îles, avec leurs grèves de sable si recherchées par certaines espèces avicoles.


Evidemment, la faune ligérienne a été profondément impactée. Seuls les presque cinquante Cygnes tuberculés qui circulent dans la zone semblent y avoir trouvé leur compte, en captant des végétaux charriés par le courant.
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Les Sternes pierregarin étaient en nidification avancée ; les Sternes naines étaient plutôt dans les préliminaires de leur installation : nul doute que leurs populations ont subi d'importants dégâts. Mais pour certaines, la vie continue et les rites amoureux, comme l'offrande du poisson, ont toujours leur place :

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Probablement chassée de son trou, une Couleuvre à collier remonte le courant en se dissimulant dans les herbes :

120525 (137) montage Couleuvre

 

Soudain, au petit matin, un Crabier chevelu vient se poser sur notre rive, hélas dos tourné et en partie caché par la végétation :

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Il ne pourra pas être approché par la suite, compte tenu de la présence de l'eau. Mais le "contact" est avéré : le "cheveu" dans le dos, la configuration et la couleur du plumage - comparés à celui d'une photo "volée" à oiseaux.net (à gauche) - ne laissent pas de doute. En septembre 2009, un oiseau similaire avait séjourné un bon moment au "Fer à cheval", en amont de Jargeau (photo de droite).

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On croyait les Hirondelles de rivage et leurs 250 loges à l'abri des menaces qui nous avaient fait réagir. Certes, cette fois-ci elles sont toutes en hauteur : il reste environ deux mètres de sécurité. Mais le fort courant sape la base de la falaise, provoque des effondrements et la chute de végétation "en rideau" à cetains endroits... voire la chute d'arbres emportés par le courant.

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Les nidifications ne semblant pas achevées, les menaces sont donc toujours présentes.

 

Les émergences d'Odonates, qui avaient débuté notamment avec Calopteryx splendens, sont totalement perturbées.

Pourtant, un couple de Coenagrion puella utilise une végétation encore émergente pour la ponte de ses oeufs après fécondation.

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Le jour tombe sur un Val transformé en un immense miroir, une Loire largement vidée de son avifaune dont une partie a malheureusement dû être décimée.

Heureusement, un début de décrue s'amorce...

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De l'extraordinaire pour l'initiation à l'environnement de vos enfants... Et peut-être de vous-mêmes :

Les  trois jeunes Pyguargues à tête blanche de l'Iowa sont prêts au premier envol : à ne manquer sous aucun prétexte !

Trois petites Cigognes noires sont nées en Estonie : des scènes de nourissage émouvantes...

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité

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28/05/2012 - L'oiseau du jour, réapparu avec la crue : le Grèbe huppé, un de nos plongeurs les plus sympathiques. En plumage nuptial, ses huppes ressemblent à deux oreilles de Mickey (mais ici, elles sont mouillées...). En pêche, le Grèbe est sous l'eau pendant 80% du temps, une photo en digiscopie, avec un champ très étroit, est une gageure : on ne sait jamais où notre oiseau va réapparaître !

 

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Après le passage de la crue à son niveau maximum (+1,60 m au dessus du niveau de référence, selon Vigicrues), le niveau est retombé d'un mètre... mais s'est stabilisé à +0,60 m. Les herbiers des rivages sont en partie réapparus, mais tous les îlots et plages minérales sont encore sous l'eau.

 

Les branchages entassés ci et là ont retenu des masses d'algues (Vallisnérie spiralée, à confirmer) qui ont pris en émergeant l'aspect de grands écheveaux de soie verte.

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Après les Cygnes, les Ragondins s'en gavent abondamment.

 

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La crue a été trop importante : le phénomène des "sculptures arachnéennes" (  notre article du  13/11/11  )    ne s'est reproduit sur les rives submergées qu'à petite échelle, d'autant que ce n'était pas la période des reproductions.

 

Un Chevalier guignette peine dans sa quête de nourriture : faute de plages sableuses ou de graviers, il doit circuler sur une laisse encombrée de déchets naturels... ou de bouteilles en plastique échouées avec le retrai de l'eau.

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Les portées de petit Canards, jusqu'ici peu visibles, n'ont pas d'autre choix que de s'exposer en circulant  près du bord.

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... tandis que les Sternes patientent sur des perchoirs de fortune, en attendant soit de pouvoir commencer enfin leur nidification, soit d'en entreprendre une seconde pour les couples dont les nids sur le sable ont été submergés.

 

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Toujours placide,le Héron cendré reste du côté de ses emplacements habituels, même si les grenouilles ou le menu fretin de poisson n'est pas au rendez-vous.

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Publié le par Jim
Publié dans : #Observations

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Et pour commencer, des nouvelles de bébé hulotte : le 22 mai en fin de matinée, nous l'avons retrouvé dans les hauteurs du très grand Epicéa. Si celui-ci fait plus de 40m de hauteur, la boule de laine plume grège était perchée à 25 ou 30 m du sol. 

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D'où une position acrobatique pour le photographier en digiscopie : à genoux dans l'herbe mouillée, la lunette en dévers pour avoir un angle d'environ 80° avec le sol !!!


Le 16, c'est monsieur Hulot qui dormait dans cet arbre : beaucoup moins haut, mais loin du tronc sur une branche dans un coin sombre :
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Mais revenons à notre petit : nos contorsions et autres reptations avec la lunette ne l'émeuvent pas. Tout juste finit-il par se glisser contre le tronc pour mieux s'abriter du vent.


Au bout de plusieurs dizaines de minutes, départ furtif d'une hulotte adulte à partir d'un Epicéa voisin, suivi du départ d'une seconde, et probablement d'un congénère plus petit : le second jeune vu sur la plateforme ?
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Puis, juste après, des sifflements d'un Balbuzard troublent l'immobilité de la scène. Et celui d'un autre, moins proche.


Stupéfaction : à l'entendre, le premier est posé vers le sommet de l'Epicéa de la hulotte ! Il nous faut prendre du recul pour nous "planquer" un peu, ce qui nous permet d'entre-percevoir le pêcheur perché se faire chasser par un congénère, et, juste après, un troisième individu se poser sur l'aire en haut du Séquoia. Moment de folie pure, où l'on ne sait plus où donner de la tête !

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Cela nous force à revenir un peu en arrière ; depuis le 14 mai, après une période creuse, les Balbuzards pêcheurs se bousculaient à nouveau sur la Loire devant Latingy, très souvent à deux... et même parfois à trois. Et parmi eux, un individu bagué orange au tarse gauche, probablement femelle (photo ci-dessous), et un autre non bagué...

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Partenaires d'un couple erratique, soit en échec après un début de reproduction sur une aire proche, soit immature sexuellement ?


Et puis au milieu de la matinée du 22, ça y est : l'aire, libérée des Chouettes hulottes depuis un bon moment, est "récupérée" par un Balbuzard, occuppé à consommer un très gros poisson ! Et que l'on reverra à la fin de la journée, seulement occupée à surveiller les pourtours à 360°.
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Nous consacrerons une "Balbulettre" au retour de nos rapaces emblématiques, mais ces digiscopies réalisées entre deux intempéries...
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... ainsi que des observations faites depuis, n'ont pas permis de lire d'éventuelles bagues et d'identifier ceux qui s'intéressent actuellement à la plateforme.

 

Pour revenir à la scène du 22 mai : nous pouvons avoir eu simplement à faire à une rivalité de mâles pour la femelle... ou pour le nid... ou pour les deux !

Voilà qui promet encore de nombreux rebondissements !


A suivre... et pour cela, si vous ne l'êtes pas, inscrivez-vous à la Balbu-lettre dans la colonne de droite.

 

 

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Publié le par Jim
Publié dans : #Observations

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20/05/2012 - Ce très élégant Limicole haut-perché sur de fines jambes, au retour de sa migration africaine, est plutôt habitué aux zones côtières et à la Méditerranée. Par exemple, nous l'avions déjà contacté en Camargue.

La présence au bord de l'île des Baffaits de deux spécimens d'Echasse blanche (Himantopus himantopus) est donc tout à fait exceptionnelle. Trop lointain, son vol gracile n'a pu être saisi.
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Plus de détails sur oiseaux.net

 

La mauvaise définition des photos est due à l'éloignement (près de 500m) et au temps couvert.

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Publié le par Jim
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17/05/2012 - Jour de l'Ascencion - Pour satisfaire votre curiosité, nous avons traversé la Loire, et, à plat ventre, nous sommes penchés au bord de la falaise pour tenter des instantanés acrobatiques au téléobjectif.

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Après une attente patiente, nos amies sont venues en nuage faire des grands cercles devant leurs cavités ; puis, comme à un signal, se poser toutes simultanément au seuil des orifices, et pour certaines y pénétrer...
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... avant de retourner chasser les insectes sur la surface de la Loire.
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Le nombre d'orifices s'est stabilisé entre 200 et 250. La colonie semble moins menacée qu'auparavant : le niveau de la Loire a baissé, d'une part, et une nouvelle protection a été installée pour que l'on n'approche pas de la falaise.
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Il faut remercier pour cela M. le Maire de Jargeau, que nous avons sollicité à trois reprises pour faire installer ou rétablir les protections de la falaise.

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Publié le par Jim
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Dans le Grand bois, quand ce n'est pas un poussin qui, tête dehors, pieupieute assez fort pour vous attirer vers sa loge, ce sont les adultes en alerte qui picassent intensément en tournant autour de vous dans les frondaisons : sans doute espèrent-ils vous éloigner du nid et de leur précieuse progéniture.

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Mais cette fois-ci, le trou caractéristique des loges de pics est (presque) en évidence, sur une branche maîtresse de chêne visible du chemin. Un peu de patience, la lunette braquée depuis la planque à travers les branches, pour observer  les Pics épeiche : les pics les plus répandus, mais pas les plus connus du public.

 

Alors le ballet des adultes reprend, avec des livraisons régulières d'alimentation à leurs petits...
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... qui à l'occasion rentrent dans la loge et en ressortent.
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Un des mets préférés du Pic épeiche dans la période actuelle : la fleur (mâle) du Pin maritime.
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Plus de détails sur oiseaux.net

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