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Loire & biodiversité

Loire & biodiversité

Pour vous, nous illustrons ici l'exceptionnelle biodiversité que l'on peut rencontrer près de la Loire à Mardié, et plus largement dans le Val de Loire du Loiret ; biodiversité remarquable... mais hélas menacée par un absurde projet de déviation routière datant du siècle dernier, avec franchissements du grand fleuve. Notre association MARDIEVAL s'y oppose durablement (voir notre site http://le-castor-enerve.fr/). Nous avons entrepris de valoriser ces richesses naturelles, et nous refusons qu'elles soient inutilement détruites !

Publié le par Jim
Publié dans : #Observations
Un Pic mar en hiver

09/12/2015 : Un Pic mar (Dendrocopos medius) est en visite dans le parc de notre amie Sylvie David-Rousseau à Sully-sur-Loire. Elle nous en envoie cette très jolie photo... qui nous permet de pointer ce qui distingue cet oiseau de son cousin beaucoup plus familier, le Pic épeiche (photo ci-dessous) : calotte rouge, même chez l'adulte ; absence de "moustaches" noires ; et couleur rose du plumage abdominal s'accentuant vers la zone anale, avec des stries sur les côtés.

Un Pic mar en hiver

"L'aire du Pic mar est nettement plus réduite que celle du Pic épeiche, et même là où il vit, il demeure assez rare. Il peuple l'Europe Centrale, Occidentale et Méridionale avec une extension en Asie-Mineure, Irak et Iran. Sur tous ces territoires présentant pourtant des conditions climatiques aussi différentes, il est sédentaire. Le pic mar se nourrit très haut dans les frondaisons des vieux arbres, plutôt que sur les grosses branches et les troncs. Il suce souvent la sève et se perche en travers des branches comme un passereau plutôt que le long de celles-ci. Agité, il change souvent d'arbre pour se nourrir. Farouche, discret, il est moins enclin que l'épeiche à survoler les espaces ouverts, ce qui rend son observation difficile." (Oiseaux.net)

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Publié le par Jim
Publié dans : #Espèces et territoires
Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !

1/08/2015 - 20h50 - Le jeune Héron pourpré que nous allons voir s'installer au pied du coteau du Mont pendant presque un mois est là pour le cinquième jour. L'heure est tardive, la nuit va commencer à tomber.

En chasse depuis un bon moment dans le mince canal d'eau que l'étiage sévère n'a pas encore asséché, il longe la végétation aquatique sur la pointe des pieds, si l'on peut dire... Car ses pieds surdimensionnés lui permettent de circuler à l'aise sur tous les fonds aquatiques même peu solides. Après des affûts dans une immobilité absolue, suivis de mouvements d'un incroyable ralenti, il frappe avec son bec l'amphibien qui aura eu l'imprudence de ne pas le voir ou de ne pas l'entendre venir.

Ce sont souvent des proies modestes, mais cette fois-ci, il attrape une grenouille de très gros calibre : plus longue que son long bec ! Il lui faut d'abord la neutraliser en la frappant, voire en tentant de l'étouffer sur le fond... Cela dure cinq longues minutes. Puis il doit l'avaler d'un seul morceau, non sans mal : passage spectaculaire dans le long cou étroit, où l'on peut suivre la progression du batracien, suivi de sortes de spasmes pour le faire descendre plus loin jusqu'à l'estomac !

Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !
Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !
Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !
Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !
Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !
Le pourpré et la grenouille : dur à avaler !

Mais, souvenez-vous : nous vous avions promis l'histoire complète dans notre article "Un jeune Héron pourpré qui... kiffe Le Mont !" du 2/08/2015.

Alors la voici... dans une vidéo inédite de quatre minutes que nous vous recommandons particulièrement.

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Publié le par Jim
Publié dans : #Observations
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

Récit détaillé et multiples photos de ce qu'on pourrait appeler l'"adolescence" de nos deux jeunes Balbuzards Cab et Mar sur l'aire du Grand Bois.
Retour en arrière un peu tardif, nous le reconnaissons... Mais si le temps nous a cruellement manqué, nous vous avons quand même tenu au courant des évènements les plus marquants dans nos articles "Cab... Vole !" du 18/07/15, "Ils sont grands ces petits !" du 20/08/15, et "Ils sont partis... Rendez-vous en mars 2016" du 12/09/15.

En cinq ou six semaines de croissance accélérée, les deux vilains poussins prostrés au fond du nid se sont mués en beaux oiseaux dotés de la plupart des attributs des adultes... et dotés surtout d'un appétit féroce : leur consommation quotidienne de poisson est environ le double de celle de leurs parents !

C'est dire que Titom, le mâle préposé à l'intendance, doit multiplier par trois les apports de poisson par rapport à la période d'incubation où il n'avait que Sylva à alimenter, en plus de lui-même. Et que, sur le nid, les moments attendus de la journée sont les arrivages de la "marée", comme en attestent les manifestations de plus en plus bruyantes de nos héros...

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

... qui, de fait, ne se calment que lorsque Sylva entame la distribution tant attendue.

Bientôt, tout cela va changer progressivement : d'abord, les jeunes vont apprendre à grappiller quelques morceaux direct
ement sur le poisson pendant cette distribution. Puis, le jour où Sylva les jugera capables de pratiquer le "self-service", elle va s'éloigner pour les forcer à se débrouiller seuls.

Ce qui donne lieu à quelques scènes inhabituelles. Ainsi, au moment de cette transition, on peut voir Titom revenir sur l'aire, et reprendre un poisson qu'il avait déposé auparavant sans en avoir retiré la tête... considérant probablement que Cab est bien maladroit et ne va pas s'en sortir.

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

A la fin de juillet et en août, tant que les jeunes n'ont pas encore appris à se nourrir seuls, c'est toujours Titom qui livre les repas... sans vraiment de régularité, d'ailleurs.
Tandis que Sylva, comme en 14, s'est installée au sommet du grand Epicéa, d'où elle peut surveiller à la fois le nid et les survols de la Loire par son mâle et ses jeunes.


 

Accessoirement, elle peut contrôler également nos aller-retours vers les bois, voire nos sorties sur la prairie du Mont. Et comme l'an dernier, elle vient assez souvent nous survoler avec des manifestations - sifflements, vols festonnés etc. - que nous ne pouvons interpréter que comme totalement amicales...

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
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Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
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Mais revenons en arrière. Entre deux nourrissages (ou deux défécations...), plus question pour nos jeunes de somnoler comme des bébés. Alors on commence à voir des ailes s'étirer... bouger, esquisser des battements. Pour le moment, c'est sur place. Mais cela contribue à la musculation d'organes qui vont bientôt devenir essentiels.

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
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Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
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Inné ou acquis ? Eternel débat concernant la reproduction ! En ce qui concerne la capacité à s'envoler, la vue des adultes en liberté dans l'immensité du ciel est certainement une forte incitation pour les jeunes rapaces confinés dans un espace inférieur au mètre carré. Mais l'inné, à travers les gênes, compte certainement. Et ne pourra pas être contesté quand il s'agira de tracer les chemins de la migration aller, puis retour, en solitaire...

En attendant, les exercices se multiplient, et bientôt, le plus avancé des deux oiseaux se soulève pour traverser le nid d'un bord à l'autre... tandis que ses congénères présents sur l'aire ont tout intérêt à se mettre à l'abri des battements d'ailes du maladroit !

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
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Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

Nous avons daté le premier vol de Cab que nous avons pu observer du 18 juillet. Celui de Mar a dû suivre quelquesjours après. Le 23 juillet, dans la grisaille, nous observons ses vols encore maladroits, ceux de Cab déjà plus assurés, et même parfois leurs envols simultanés... le tout, sous le regard attentif de leur mère Sylva.

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

A partir de ce moment, évidemment, tout devient différent : nos deux bizuths vont commencer à explorer leur environnement. Ils vont aussi se trouver des perchoirs dans les alentours du nid... pas trop loin, au début, car ils ne sont toujours pas capables de se nourrir eux-mêmes.


Mais il va leur falloir très rapidement s'éloigner de leur proche environnement ; survoler la Loire et apprendre le contact brutal de l'eau ; savoir prendre les ascendants pour conquérir l'altitude sans épuiser leur énergie.
 

 

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent
Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

Et se rendre prêts pour qu'à la fin août ou au début septembre, ils puissent défier les longs-courriers en partant, seuls, pour l'Afrique centrale, via Gibraltar et via le Sahara...

Balbu-infos N°4 : Deux nouveaux jeunes dans le vent

Fin
de la saison 2015

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)

Dans nos jardins, à l'approche de Noël, nous devrions voir refleurir une des rares plantes domestiques qui attende l'hiver pour éclore, la... "Rose de Noël" : l'Hellébore (que nous avions présentée dans notre article "Portrait : une Rose pour votre Noël" du 24/12/14). Elle abonde déjà dans les jardineries !

Mais en attendant, avec des températures nocturnes généralement positives, qui peuvent même encore atteindre les 9°C, certains végétaux continuent à se croire au printemps. Ainsi le Cognassier du Japon (Chaenomeles japonica) a-t-il ressorti ses boutons floraux depuis un moment, et ses fleurs peuvent s'épanouir en magnifiques bouquets si vous en rentrez quelques branches à la maison... Alors, laquelle choisir comme  fleur du jour ?

Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)
Fleur du jour : l'Hellébore (ou le Cognassier du Japon ?)

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Publié le par Jim
Publié dans : #Espèces et territoires
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?

Une Grande aigrette (Ardea alba) vue au Mont, en vol, en 2006. La première.
Deux douzaines installées en octobre 2009 et en octobre 2011 devant l'île des Baffaits.
Une quarantaine les pieds dans la Loire cette année, lors d'une curée sur un banc de poissons à l'automne... Et plusieurs présentes dans le secteur en période de reproduction.

Voilà comment, en quelques années seulement, une espèce prend une place marquante dans notre territoire ; alors même que, comme le dit bien oiseaux.net,  "La dégradation des zones humides, la perte de l'habitat et le développement des régions côtières sont des menaces importantes pour cette espèce.".

Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?

Ci-dessus, c'était en 2009 et en 2011.


Et ci-dessous, cet automne 2015.

Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?
Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?

Cette année, pour la première fois, nous avons vu aussi plusieurs Hérons garde-boeufs séjourner sur les îlots de Loire, seuls ou à deux, pendant plusieurs jours, au milieu de groupes abondants d'autres hérons.

Dans le sud du département, on observe de plus en plus fréquemment des Guépiers d'Europe, en principe familiers dans le sud de la France,

 

Beaucoup de signes confirment au yeux du naturaliste le dérèglement climatique : ces modifications de la répartition des espèces n'en font-ils pas partie ?

Plus de Grandes aigrettes : le changement climatique ?

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Publié le par Jim
Publié dans : #Album
Album 1h - Nature et paysages 2015
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Prenez un peu de temps pour revisiter, dans ce nouvel Album 1h - Nature et paysages 2015, les plus belles scènes de l'année : 200 photos, déjà vues pour certaines, inédites pour d'autres.


La vedette incontestée de l'année est ce jeune Héron pourpré qui est resté pratiquement présent pendant un mois devant le Mont, nous permettant de rassembler un nombre incroyable de vues très variiées de cet oiseau réputé très difficile à observer.

Mais dans biodiv
ersité, il y a diversité...

 

Et maintenant qu'Overblog a réglé son problème de diaporamas, mettez ces images en boucle !
 

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Publié le par Jim
Publié dans : #Portrait
Un mal-aimé discret : le Crapaud commun
Un mal-aimé discret : le Crapaud commun
Un mal-aimé discret : le Crapaud commun
Un mal-aimé discret : le Crapaud commun

D'accord, ce n'est pas un grand prix de beauté.
Mais le Crapaud commun (Bufo bufo) ne passe pas non plus son temps à s'exposer en bikini sur les plages.


D'accord, il a sur le dos une vilaine peau pustuleuse avec des glandes venimeuses.
Mais venimeuses seulement pour les prédateurs carnassiers qui seraient tentés de le croquer. C'est de bonne guerre !

En outre, cette peau rugueuse concourt à rendre cet amphibie presque invisible le jour. En dehors de la période de reproduction, il se réfugie dans des endroits sombres et humides : dans notre cas, sous l'écorce à moitié pourrie d'un vieux tronc oublié.


Mais pour la reproduction, que ce Dom Juan effréné ne manquerait sous aucun prétexte, il doit se déplacer jusqu'à une mare et évoluer dans un milieu aquatique : c'est là, à la fin de l'hiver, que son observation est la plus fréquente.

Dessin d'Alban Larousse

Dessin d'Alban Larousse

Un mal-aimé discret : le Crapaud commun

Notre dernière rencontre avec un Crapaud était au plus profond des bois, sous un amas de fougères sèches, en juillet 2009.

 

 

Plus de renseignements sur Wikipedia

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Un second printemps ?
Un second printemps ?
Un second printemps ?
Un second printemps ?
Un second printemps ?

Le retour de chaleurs exceptionnelles pour Novembre provoque dans le monde végétal une sorte de second printemps : on voit refleurir ça et là des fleurs sauvages comme la Campanule raiponce (Campanula rapunculus), la Pâquerette (Bellis perennis), ou encore le Bec-de-grue commun (Erodium cicutarium). Elles s'ajoutent aux rares fleurs de saison comme les Cyclamens de Naples (Cyclamen neapolitum).

Les fleurs de jardin ne sont pas en reste : les Rosiers refleurissent à côté de l'Abelia.

Un second printemps ?
Un second printemps ?
Un second printemps ?

Au verger, un Pommier ressort des fleurs ; et au potager,ce sont les Fraisiers qui promettent de nouveaux fruits.

Mais on ne s'y trompe pas vraiment : au printemps, on ressent la montée de l'explosion florale. Aujourd'hui, on sent qu'il ne s'agit que d'une rémission avant le proche hiver...

Un second printemps ?
Un second printemps ?

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Publié le par Jim
Publié dans : #Espèces et territoires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires

Tous les rapaces que nous pouvons contacter sur notre territoire ne sont pas migrateurs. Quand Balbuzards pêcheurs, Circaètes Jean-le-Blanc et Bondrées apivores ont disparu de notre ciel vers le sud, on peut y voir encore Buses variables, Faucons crécerelles et Eperviers d'Europe.

Ainsi, à la saison des Asters, la Loire mardésienne a reçu souvent la visite d'une jeune Buse variable reconnaissable à son plumage très clair en dessous.

Le 20 septembre, elle avait été longuement harcelée par un  groupe de Corneilles agressives. Mais cela ne l'avait pas dissuadé de revenir presque tous les jours.

Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires
Nos rapaces sédentaires

Nombreux passages de Faucon crécerelle également à la cime de nos grands Peupliers. On aurait pu penser qu'ils faisaient partie d'une famille connue : celle du couple qui y stationnait en permanence au printemps, deux oiseaux qui se glissaient fréquemment dans une grosse boule de gui.

Mais la présence d'une bague au torse de celui qui est venu le 30 octobre montre que c'est un passager, puisqu'aucun baguage n'a été fait dans notre territoire.


Un Epervier d'Europe de nos bois vient régulièrement chasser d'autres oiseaux, nombreux dans le secteur : il utilise aussi ces peupliers comme affût. Mais les corvidés voient cela d'un très mauvais œil, et on a pu assister à des vols de poursuite effrénés avec des Geais des chênes combatifs.

Nos rapaces sédentaires
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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
L'ami Rougegorge

Le Rougegorge familier (Erithacus rubecula) est un oiseau charmant... qui se permet beaucoup de familiarités : il ne nous quitte pas d'une semelle ! Il nous prend sur le seuil de la maison, et il est encore là pour saluer notre départ en voiture. Et il peut chercher à attirer notre attention en accompagnant ses poursuites de ses jolies trilles !

Généralement, il niche dans un trou du mur de notre maison.

Mais ça ne lui suffit pas : alors il veut y rentrer, dans la maison. Quand il voit une ouverture dans le mur, il tente sa chance...

Pan sur le bec ! C'était une fenêtre vitrée, et te choc a été rude, il faudra un moment pour récupérer. Ce genre de piège peut même se révéler mortel...

 

Mais on insiste : on rentre dans la véranda par une porte ouverte, et on ne sait plus comment en sortir ! Alors on occuppe son temps en visitant les objets familiers de la maison. dernière visite a été moins réussie : dans le sombre vieux pressoir, il y a des paquets de toiles d'araignées dans lesquels on s'emprêtre, une petite fenêtre vitrée infranchissable, des tonnes de graines de bouleau...

Insalubre ! Vivement le grand air et la liberté du dehors !

 

L'ami Rougegorge
L'ami Rougegorge
L'ami Rougegorge
L'ami Rougegorge
L'ami Rougegorge
L'ami Rougegorge

"La nature peu farouche du Rougegorge et son plumage attractif l'ont rendu populaire chez des générations de jardiniers. Le rouge-gorge fait partie d'une espèce d'oiseau très active, dont les adultes patrouillent et défendent vivement leur territoire. Présent dans presque chaque jardin, c'est l'un des oiseaux les plus familiers, cherchant sa nourriture à proximité des humains en train de jardiner. Il ira jusqu'à venir se nourrir de proies vivantes, comme des vers de terre ou des vers de farine, présentés à la main. Si l'hiver est rude, il deviendra encore plus familier, car vu son métabolisme, le manque de nourriture dû au froid le rend très vulnérable et la mortalité est alors importante, l'espèce étant casanière et rechignant à migrer."( Wikipedia)

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