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Loire & biodiversité

Loire & biodiversité

Pour vous, nous illustrons ici l'exceptionnelle biodiversité que l'on peut rencontrer près de la Loire à Mardié, et plus largement dans le Val de Loire du Loiret ; biodiversité remarquable... mais hélas menacée par un absurde projet de déviation routière datant du siècle dernier, avec franchissements du grand fleuve. Notre association MARDIEVAL s'y oppose durablement (voir notre site http://le-castor-enerve.fr/). Nous avons entrepris de valoriser ces richesses naturelles, et nous refusons qu'elles soient inutilement détruites !

Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste

Le printemps est un poète magnifique
Ou plutôt un poète qui magnifie.
Qui magnifie la nature.


Il prend les grands squelettes sombres et décharnés de l'hiver, et commence à les garnir légèrement de chatons ou de bourgeons aux couleurs tendres. Ce n'est pas encore le vert qui domine : ce sont les roses, les beiges, les jaunes. Et quand le vert apparaît, il est encore très clair et proche de ces jaunes

Puis pour transformer ces palettes de teintes pointillées, il joue avec les intempéries. C'est le rôle des giboulées : la pluie ravive les couleurs que les brumes avaient estompées. Le vent les agite comme pour les mélanger. Et  la lumière d'une soudaine éclaircie met le feu aux grandes frondaisons...

Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste

Il faut alors venir plus près pour découvrir les textures, se gonfler les poumons de odeurs... Et se rapprocher encore pour se noyer dans les fleurs des fruitiers, s'étonner des chatons qui sont en réalité des accumulations de fleurs, admirer chacune de ces constructions étonnantes que nous propose une nature dont l'imagination est sans limites.

Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste

Les fleurs des arbres s'en donnent à cœur joie pour enchanter les paysages, mais les fleurs qui commencent à garnir les bois, les prairies et les jardins sont autant de rencontres charmantes que nous offre le printemps après le silence de l'hiver.

D'autant que certaines de ces fleurs sauvages peuvent aussi transformer le paysage en recouvrant le sol sur des grandes surfaces ; c'est le cas actuellement, par exemple, des Pervenches et des Jacinthes sauvages qui dans les bois déroulent des tapis bleus...

Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
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Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
Le printemps impressionniste
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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
EVENEMENT : BalbuCam au cœur de la vie sauvage

Dans notre précédent article, nous terminions sur ce souhait : "rêvons du jour où nous pourrons tout voir de cette extraordinaire aventure naturelle... comme si nous étions sur le nid !".

 

Ce jour est arrivé : en direct, notre tout nouveau site internet balbucam.fr vous plonge désormais dans les scènes familières des Balbuzards pêcheurs, pendant leur saison de reproduction, sur l'aire située non loin de la Loire à Mardié.

 

 

Toute la chaîne de prise de vues, de transfert des images à un routeur, de transmission à un serveur qui distribue les images sur le net devait être prête. Et l'alimentation électrique assurée. Et puis il falllait bien que les Balbuzards titulaires du nid soient revenus, quand même !

Vous les connaissez : Sylva et Titom.

Arrivée de Titom le 21 mars

Arrivée de Titom le 21 mars

La bonne nouvelle s’est alors répandue très vite dans toute l’équipe et dans son entourage, provoquant une première vague de raccordements "sauvages"… et enthousiastes !
Provoquant aussi une grosse baisse de productivité dans certains bureaux, tant cette image de l’aire Balbu fascine, même lorsque son titulaire s’absente un moment…

Le 21 mars, alors que la caméra filmait déjà et que les images étaient diffusées - pour les initiés seulement – voici qu’à 17h, un Balbuzard était détecté sur un perchoir éloigné, en train de consommer un poisson au milieu d’un concert de Corneilles. Et à 18h, il se posait sur l’aire : c’était Titom, rapidement identifié par sa bague orange.

Sylva le 23 mars, puis les retrouvailles
Sylva le 23 mars, puis les retrouvailles

Sylva le 23 mars, puis les retrouvailles

Et voilà que le 23 mars, à l’approche de 13 h, un Balbu se pose sur l’aire, tourné vers le nord. On peut voir tout de suite ses tarses : blancs, non bagués… C’EST SYLVA !

 

Titom débarque juste après, scène de retrouvailles furtive dans une grande agitation d’ailes et quelques "couinements" sonores.

Voilà, mais un récit plus complet des exploits de nos amis sera fait dans la section "blog" de balbucam.fr...

EVENEMENT : BalbuCam au cœur de la vie sauvage

Rendez-vous donc sur balbucam.fr...

Mais pour autant, ne délaissez pas votre blog favori : il continuera fidèlement à parler de toute la biodiversité ligérienne et à la montrer, tandis que BalbuCam ne montrera en principe que  la vie des Balbuzards...

EVENEMENT : BalbuCam au cœur de la vie sauvage

Dans un premier temps, le site ne sera hélas ouvert que de 7h du matin à 19h le soir.


Nous sommes bien conscients de la frustration que cela pourra représenter... Mais il s'agit d'une contrainte économique, liée au coût de la transmission vidéo en téléphonie 4G.

En conséquence, nous faisons un appel au financement collaboratif  pour rassembler les 1500 € qui nous permettraient de fonctionner du matin au soir, surtout quand les petits seront sur le nid cet été.

Un don ne vous coûte que le tiers de la somme versée, MARDIEVAL pouvant vous délivrer une attestation fiscale pour le remboursement des deux-tiers de la somme. Même les apports les plus modestes seront appréciés, par exemple le prix d'une séance de cinéma durant 1h 30.

Pour faire ce don, vous pouvez soit utiliser le paiement en ligne sur le site BalbuCam ; soit envoyer un chèque, libellé à l'ordre de MARDIEVAL, à l'adresse suivante :

Sylvie Boillon  - 360 rue des Moulins  - 45430 Mardié

en spécifiant : "Pour BalbuCam" au dos du chèque.

Merci d'avance, bonne observation !

 

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Balbu-passion : vers une nouvelle saison !
Balbu-passion : vers une nouvelle saison !
Balbu-passion : vers une nouvelle saison !

 

Le retour de migration des Balbuzards pêcheurs (Pandion haliaetus)  est en cours.

Beaucoup de nids sont déjà occupés en forêt d'Orléans.

En 2014, notre femelle s'était montrée sur l'aire le 22 et Titom le lendemain.


En 2015, ils avaient été plus tardifs : Sylva le 5 avril, Titom le 7.


Cette année, deux passages ont déjà été constatés, et même l'un photographié le 17 mars pendant la matinée. Mais aucun passage sur l'aire n'a été constaté.

 

Balbu-passion : vers une nouvelle saison !

Préparez-vous  donc à une nouvelle saison qui, nous l'espérons, devrait encore être encore plus grandiose...


Pour ceux qui ne sont pas abonnés à la Balbu-lettre, inscrivez votre adresse e.mail dans l'emplacement prévu à cet effet dans la colonne de droite. Vous recevrez un avertissement à chaque fois qu'un nouvel article sera mis en ligne.




Et rêvons du jour où nous pourrons tout voir de cette extraordinaire aventure naturelle... comme si nous étions sur le nid !




 

(photo-montage JMS)

(photo-montage JMS)

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !

5/03/2016 - Pas moins de cinquante Cygnes tuberculés (Cygnus olor) devant le Mont. Beaucoup de juvéniles reconnaissables à leur absence de tubercules ou à leur couleur grise, souvent en cours de transformation vers le blanc.


Ils circulent très dignement , recomposent leurs alignements, volent un peu pour remonter le fleuve. Ou, adultes, esquissent des rituels de séduction.

Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !
Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !

Mais le surlendemain, rien ne va plus : Mars se fâche, et brusquement la neige se met à tomber à gros flocons, transformant rapidement le paysage en toundra sibérienne...

Mars et ses giboulées : Cygnes des temps !

La compagnie de Cygnes est partie se mettre à l'abri. Un seul reste, beaucoup moins fier qu'avant...

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Publié le par Jim
Publié dans : #Espèces et territoires
Au Gui les crécerelles...

La scène se passe il y a un peu moins d'un an, fin mars 2015. Un Faucon crécerelle (Falco tinnunculus) a rapporté sa proie sur les grands Peupliers au fond de la prairie du Mont.

Mais le petit rapace repart vite dans un rapide ballet aérien qu'il partage avec un de ses congénères. 

Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...

Premier constat lorsque nos oiseaux se posent enfin : il s'agit bien d'un couple mâle/femelle, le mâle étant reconnaissable à la tête, la nuque et les côtés du cou gris bleuté.

 

Second constat, qui se confirme au cours des jours suivants : nos deux virtuoses  fréquentent les abords d'une très grosse boule de Gui (Viscum album), se posent sur elle ou juste à côté d'elle très fréquemment.

Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...

Et même, en observant bien, on doit constater que fréquemment, ils se glissent à l'intérieur du Gui, y trouvant un poste d'observation ou en restant à l'intérieur de la boule.

Pour y rentrer, ils n'hésitent pas à s'y laisser tomber verticalement : peut-être dans un "couloir", existant ou créé, que nous ne pouvons pas voir.

Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...

Lorsqu'on arrive à la mi-avril, la période de nidification, nous nous questionnons pour savoir si le nid va s'installer au coeur de la boule. Comment ultérieurement, les jeunes pourraient prendre leur envol dans cet "embrouillamini" végétal ?


Non, finalement, après quelques ballets aériens supplémentaires, notre couple s'éloigne, probablement pas très loin puisqu'on les revoit passer parfois furtivement. Mais les feuillages qui ont poussé nous cachent tout, comme lors de reproductions précédentes.

il faudra donc attendre de longues semaines avant de voir réapparaître des éléments de la petite famille...

Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...
Au Gui les crécerelles...

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité

Loire & biodiversité vous présente depuis des années un inventaire vivant, permanent et sans cesse renouvelé de l'extraordinaire biodiversité rencontrée près de la Loire ou sur elle, à Mardié.

Nous vous le redisons, sauf de rares exceptons signalées, toutes ces merveilles de la nature ont été photographiées ou filmées sur ou à proximité immédiate du territoire menacé par un projet routier que l'on pouvait espérer être un mauvais souvenir.

Mais vingt ans d'errements pitoyables, un classement NATURA 2000, une entrée au Patrimoine mondial UNESCO, un Grenelle de l'environnement et une COP21 n'ont pas découragé les apprentis-sorciers qui persistent à vouloir imposer un projet et un tracé miraculeux inventés en 1996. Une Enquête publique est en cours, il faut y exprimer nos refus.


Alors, alerte urgente : tout cela pourrait disparaître d'ici !

Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !
Urgent : tout cela pourrait disparaître !

Pour commencer, 150 espèces d'oiseaux sauvages. Nous ne montrons ici que les plus protégés, qu'une grande partie des 22 espèces figurant dans l’Annexe 1 de la directive Oiseaux.

Tous ceux qui veulent un pont s'en foutent, ils les connaissent pas, et si ils disparaissaient, ils ne s'en apercevraient même pas...

La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon
La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon
La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon
La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon
La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon
La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon
La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon

La photo des Loutres n'est pas prise sur place - Océane Bardon

Puis 32 espèces d'odonates ; des dizaines de mammifères sauvages, des centaines d’insectes, d’amphibiens, de reptiles, de poissons dont une vingtaine d'espèces figurent dans les Annexes 2 et 4 de la Directive Habitats.

Et enfin 200 espèces végétales, tout cela dans un contexte précieux, avec 9 types de milieux naturels patrimoniaux.


Il faut nous aider à défendre toute cette vie sauvage.  :avant la fin de l'enquête publique le 17 mars, nous vous appelons à nouveau à déposer dès maintenant vos contributions écrites avec les arguments qui vous semblent les meilleurs dans les mairies concernées, ou en les envoyant  à Sylvie Boillon  360 rue des Moulins 45430 MARDIE

 

Rendez vous sur la page Facebbok "La Loire vivra" :

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?

Avec une météo hésitante entre le beau et le détestable ou entre le tiède et le gel; après un hiver qui n'en a pas vraiment été un ; après quelques gros flocons de neige disparus à peine posés... voici le printemps qui montre le bout de son nez !

Au milieu de ces conditions cahotiques, les austères paysages privés de verdure voient enfin éclore les fleurs les plus entreprenantes, les plus résistantes aux lambeaux d'hiver, .


 

 

La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?

Jusqu'au début janvier, la Loire était encore à sec. En février, elle est montée très haut : ses habitants ont dû trouver refuge à des endroits inhabituels.

Mais des oiseaux familiers défient le courant et reviennent  visiter leurs lieux familiers : Grandes aigrettes et Hérons cendrés ; Grèbe huppé et Grèbes castagneux ; Canards colverts et Mouettes rieuses ; et sur le coteau : Buse variable, Pics épeiche, Grives musiciennes, Etourneaux sansonnets...

 

Bref, il y a toujours des observations à faire dans nos beaux paysages !
 

La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?
La fin d'un non-hiver ?

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Grande toilette du petit étang

Le petit étang est un pôle de biodiversité particulièrement important au sein du Grand Bois  de Latingy : outre la faune spécifique à la mare, ou celle qui utilise l'eau pour sa reproduction, des oiseaux prédateurs s'y rencontrent, ainsi que des mammifères qui viennent se désaltérer ou se bauger.
 

C'est aussi un endroit plein de lumière et de charme, où l'on a plaisir à s'attarder à l'occasion d'une promenade en forêt.

Nous lui avons consacré une jolie série d'articles, depuis le premier "Le petit étang du Grand bois, rendez-vous de biodiversité (1)" daté du 07/03/2012 jusqu'au sixième  "Le petit étang du Grand bois, rendez-vous de biodiversité (6)" du 02/03/14.

Mais la végétation dure revient inlassablement à la conquête des berges, et les petits cours d'eau qui alimentent l'étang en hiver ou lors des épisodes pluvieux peuvent alors se perdre dans les taillis... Bref, un gros nettoyage était nécessaire pour que la mare retrouve son bon fonctionnement , pour que les animaux y accèdent et que les naturalistes puissent y venir pour observer...

(photos de J.-N. Fourmont)
(photos de J.-N. Fourmont)
(photos de J.-N. Fourmont)

(photos de J.-N. Fourmont)

10 et 11/02/2016 - C'est l'équipe étant intervenue pour nettoyer une tache de Jussie au bord de la Loire (notre article "La Loire regardée, l'invasive arrachée" du 18/10/215) qui est revenue pendant deux jours pour réaliser ce travail.

Il s'agit de la deuxième opération concrétisant la convention de coopération passée entre La Maison Familiale Rurale de Chaingy et MARDIEVAL.

 

Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang

Le résultat est magnifique, et fait vraiment plaisir à voir : on retrouve une vision globale de la clairière, du plein d'eau et des ruisseaux qui l'alimentent.

Une Aigrette qui s'envole à notre arrivée témoigne que le système n'apas été trop dérangé.

Tous les bois coupés sont bien rangés par catégories : buches, branches, broyats.

 

Un très grand Merci à cette équipe efficace et pleine d'ardeur, et à Florent, son animateur.
 

Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang
Grande toilette du petit étang

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Publié le par Jim
Publié dans : #Espèces et territoires
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste

7/08/2015 - Cela commence par la poursuite d'un rapace par une Corneille noire : une scène relativement familière, ces corvidés ne craignent pas de défier des oiseaux a priori plus puissants qu'eux... surtout lorsqu'il s'agit de leur prendre leurs proies !


Il s'agit clairement d'une Bondrée apivore (Pernis apivorus) voir notre article "Portrait - La Bondrée apivore, grande discrète... trop méconnue" du 21/11/2012 . Mais à bien la regarder, il y a plusieurs choses curieuses qui interrogent : d'abord un énorme trou dans les rémiges tertiaires, trace probable d'un accident ; dans ce trou, comme une antenne ; et quelque chose entre les pattes : peut-être la proie convoitée par la Corneille ?

La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste

Il nous a fallu attendre de regarder les photos agrandies pour identifier, bloqués dans ses serres, des rayons d'un essaim d'hyménoptères.

Pas surprenant : "Ses proies principales sont les larves, les pupes et les adultes d'hyménoptères sociaux (principalement des guêpes, mais aussi des abeilles, des bourdons et des frelons, y compris les frelons asiatiques5), ainsi que la cire et le miel éventuellement trouvés dans les rayons de l'essaim. Le nid des insectes est détecté en suivant les adultes en vol jusqu'à l'emplacement de l'essaim. " (Wikipedia)

En l'occurrence, il s'agit vraisemblablement de rayons de Guêpes polistes (Polistes dominula), dont les nids sont formés de fibres végétales, et parfois fixés sur des branches : le prédateur en a sans doute emporté un morceau trop solidement rattaché aux rayons.

La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste
La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste

L'inventaire d'une certaine Étude d'impact prétend n'avoir pas trouvé de trace de nidifications de Bondrée apivore dans les bois de Latingy : dommage pour eux, puisque pourtant, depuis de très longues année et de façon récurrente, nous voyons dans le ciel , nous rencontrons dans les allées de ces bois, et nous prenons en photos très fréquentes des Bondrées apivores dans des circonstances qui attestent de situations de reproduction à proximité immédiate. Cet été encore, d'autres individus ont été contactés, souvent en couple.
 

Et, comme celui qui suit, ils n'avaient pas l'aile droite déplumée qui aurait permis d'identifier la Bondrée aux rayons de Guêpes...

La Bondrée et les rayons de Guêpe poliste

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Publié le par Jim
Publié dans : #Espèces et territoires
Les renardeaux de Courpain

Retour à l'été dernier :

4/08/2015 : dans la Réserve de Courpain à Ouvrouer-les-Champs gérée par la Maison de la Loire de Jargeau, Cyril Maurer observe longuement une jolie scène naturelle : quatre jeunes Renards roux (Vulpes vulpes) sur la grève du plan d'eau, occupés à la promenade, à des jeux de combats, à bailler aux corneilles...

 

Merci à lui de nous avoir confié cette série pleine de charme.

Les renardeaux de Courpain
Les renardeaux de Courpain
Les renardeaux de Courpain
Les renardeaux de Courpain
Les renardeaux de Courpain
Les renardeaux de Courpain

Puisque nous reparlons du Renard roux (Vulpes vulpes), je vous proose de regarder (pour la première fois ou à nouveau) le remarquable documentaire sur les Renards de Franck Vigna,  L'odeur de l'herbe coupée : 53 300 vues sur internet depuis sa mise en ligne en décembre 2014 !


Et retournons aussi voir les magnifiques dessins d'Alban Larousse dans notre article "Parmi les mal-aimés : Goupil, le rouquin malin" du 28/12/11.
 

Les renardeaux de Courpain
Les renardeaux de Courpain

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