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Loire & biodiversité

Loire & biodiversité

Pour vous, nous illustrons ici l'exceptionnelle biodiversité que l'on peut rencontrer près de la Loire à Mardié, et plus largement dans le Val de Loire du Loiret ; biodiversité remarquable... mais hélas menacée par un absurde projet de déviation routière datant du siècle dernier, avec franchissements du grand fleuve. Notre association MARDIEVAL s'y oppose durablement (voir notre site http://le-castor-enerve.fr/). Nous avons entrepris de valoriser ces richesses naturelles, et nous refusons qu'elles soient inutilement détruites !

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Publié le par Jim
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Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy

Le 16 août dernier, nous avons photographié au téléobjectif, et même pris en digiscopie un magnifique Circaète Jean-le-blanc ( Circaetus gallicus ) en forme claire qui survolait la plaine, puis la prairie du Mont.

Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy

Migrateur très rare sous notre latitude, se nourrissant de reptiles, c'est le seul rapace que l'on peut  photographier en "digiscopie" (zoom de compact derrière l'oculaire d'une lunette d'ornithologue) : en effet, son vol stationnaire, dit "du Saint-esprit", est tellement stable pendant de longues minutes, même avec les vents circulant en hauteur, qu'il peut être trouvé et saisi de façon répétée en plein ciel !

Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy

Mais ce mardi 27 août vers 12h 35, notre Circa revient en vol avec dans son bec un reptile, probablement un gros Lézard vert 

Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy

Depuis des années, un adulte - vraisemblablement le mâle - vient fin août - début septembre se poser en affût sur les branches hautes de nos grands peupliers… 
Autant dire que nous sommes curieux de le voir cette année, car il ne s'agit manifestement pas du même spécimen que celui en forme claire observé ci-dessus, mais nous ignorons leurs liens de parenté.

Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy
Les Circaètes Jean-le-blanc de Latingy

En tout cas, voici confirmée notre certitude qu'un nid de Circaète situé au cœur du massif boisé de Latingy permet des reproductions annuelles de cette espèce protégée, mais évidemment ignorée par les brillants écologues à la solde du Conseil départemental !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
La famille Bondrée et le grand Peuplier

Les grands Peupliers dont nous avons parlé dans notre dernier article, et notamment leurs branches mortes les plus hautes, n'ont pas fini de recevoir de nouvelles visites. Nouveaux individus bien sûr, mais même nouvelles espèces d'oiseaux venant après des dizaines d'autres...

C'est ainsi que pour la première fois, deux jeunes Bondrées apivores ( Pernis apivorus ), puis au moins un de leurs parents viennent s'exposer à nos digiscopies  sur cet emplacement privilégié...

 

Cela commence le 3 et le 5 août par des observations en vol des deux adultes, mâle et femelle, laissant supposer la fin de la reproduction 2019 ;

La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier

C'est le matin du 19 août qu'une Bondrée adulte en forme sombre passe un quart d'heure posée là-haut :

La famille Bondrée et le grand Peuplier

Très vite, elle est harcelée par une Pie, une de celles qui voudrait imposer sa loi sur ces arbres...

La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier

La Pie finit par avoir gain de cause.

Mais surprise : le lendemain 20 août, un oiseau sensiblement différent est posé dans le même coin. "Cire" (haut du bec) jaune, et tour de l’œil très foncé : il s'agit toujours d'une Bondrée sombre, mais jeune de l'année !

La famille Bondrée et le grand Peuplier

Le 21 août, c'est le sensationnel, l'émotion : une magnifique Bondrée juvénile en forme claire occupe exactement le même perchoir !

La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier

Dérangée cette fois-ci par une Corneille, la blanche Bondrée s'envole et vient tourner sur la prairie du Mont en se rapprochant de plus en plus ! Magique !

La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier

Un quart d'heure après, on observe un joli ballet aérien des deux juvéniles... Et pendant un moment d'un adulte.

La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier

Re-belote le lendemain, ou trois oiseaux évoluent longuement... Avec une particularité : la blanche, par moments, fait la folle en réalisant des décrochements, des bascules, des vols les pieds pendus !

La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier
La famille Bondrée et le grand Peuplier

Voilà les folles matinées des Bondrées de Latingy.

Depuis au moins 2008, année après année, nous avons observé des Bondrées apivores au ciel au moment de leur arrivée tardive de migration ; au sol ou en vol bas dans les allées du Grand bois de Latingy pendant l'été ; au ciel à nouveau à l'approche de l'automne.

Nous n'avions aucun doute sur le fait qu'elles se reproduisent au cœur du Grand bois. Mais ces épisodes récents en apportent une preuve éclatante, incontournable !


Les grands écologues de Biotope disent ne pas en avoir contacté. Leur passage fût bref et trop tardif.
Après l'épisode de la Corydale solide et celui-ci, les juges administratifs voudront-ils ou elles admettre enfin que l'étude d'impact présentait beaucoup trop de manques, et reconnaître l'incomplétude évidente des espèces protégées présentées dans le dossier de demande de dérogations au CNPN ?

 

 

Plus de détails sur oiseaux.net

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Les familiers des grands Peupliers

Ils sont assez vieux et plutôt "décatis" ; couverts de boules de Gui : avec des branches brisées par les tempêtes, ou sévèrement attaquées par des Pics ; mais surtout, avec des branches hautes desséchées. 

Nous en avons déjà parlé dans notre article "Grands Peupliers du Mont : un théâtre apprécié par l'avifaune" du 28 juillet 2014 et dans de nombreux autres articles. Ces branches dépourvues de feuilles accueillent à découvert des dizaines d'espèces d'oiseaux, et notamment des espèces attirées par des positions sommitales souvent peu visibles...
Sur la photo ci-dessus, prise pour le Pigeon ramier, il y a en réalité "par hasard" quatre oiseaux...

 

Certains oiseaux y apparaissent d'abord entre leur arrivée de migration et le début de leur reproduction, puis après la fin de cette reproduction, parfois accompagnées de leurs jeunes.

Ce 6 juillet, c'est le cas du Loriot d'Europe (Oriolus oriolus), vu ici jusqu'au début mai, mais qui vient d'y réapparaître plusieurs fois et pour des stations parfois prolongées.

 

 

Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers

Revoici aussi le Grosbec casse-noyaux ( Coccothraustes coccothraustes ) :

Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers
Les familiers des grands Peupliers

Au passage, un Pic vert ( Picus viridis ) :

Les familiers des grands Peupliers

Par contre, cette Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) n'est ni de retour, ni de passage : elle est ici tous les jours, son emplacement est comme réservé !

Les familiers des grands Peupliers

Ce matin à 6h 20, un des deux jeunes Balbuzards pêcheurs ayant récemment pris leurs envols tentait de se poser sur une branche haute de nos grands Peuplier. Dans une scène ressemblant à celle-ci (datant, elle, d’avril 2018) :

Les familiers des grands Peupliers

Mais ces jeunes ne connaissent pas encore la capacité des branches à supporter leurs poids. Et le séjour trop bref de celui-ci, quelques secondes, n’a pas permis de prendre une photo…
Le jeune est parti vers le Grand Bois, et on a pu l'y  voir encore pour quelques trop brefs survols.

Au cours de l'année, ce sont des dizaines d'espèces qui utilisent ces perchoirs élevés. Et notamment :
- Des rapaces : Circaète Jean-le-blanc, Buse variable, Balbuzard pêcheur ; Faucons crécerelle, hobereaux, pélerin  ; Épervier d'Europe.
- Des picidés : Pics épeiche, épeichette, vert, noir.
- Des colombidés : Tourterelles des bois, tourterelle turque, toutes sortes de Pigeons (ramier, biset...).
- Des corvidés : Corneilles, Pies, Geais des chênes
- De multiples autres passereaux : Grives, Étourneaux, Mésanges,Pinsons etc.

Bref, c'est un studio vivant pour la photo ornithologique !

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Publié le par Jim
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ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES

Pour ceux qui n'auraient pas suivi les évènements "à suspense" qui se sont déroulés "En direct" sur l'aire BalbuCam, voici quelques rappels... Illustrés par des extraits de vidéos.

Premier rappel : les pontes s'étaient succédées à partir du 7 avril tous les trois jours, soit le 10 et le 13 avril.

Les éclosions intervenant en moyenne 37 jours après les pontes, la date critique était le 15 mai... Et tous les BalbuCamés étaient déjà aux aguets afin de ne pas rater la découverte.

 

16 mai : Première éclosion de la Saison 4 !

C'est au petit matin du 16 mai, peu avant 8h 30, que Sylva dévoile pour la première fois le premier éclos des poussins de 2019, Saison 4 de la BalbuCam.

La première petite becquée ne tarde pas : le poussin devait être sorti de sa coquille depuis un moment, et Reda avait approvisionné pour cela un beau poisson à côté de la femelle.

On voit aussi Sylva écarter la coquille de la coupe du nid. Voilà, dans une petite semaine, on devrait pouvoir admirer deux autres poussins, et assister ensuite à la croissance ultra-rapide de ceux qui deviendront vite des "jeunes" !

17 mai : Deuxième éclosion en 2019 !

A 8h 48, le lendemain de la première éclosion, Sylva se lève et laisse apparaître le deuxième poussin encore dans sa coquille. Et comme la femelle entreprend un précautionneux contournement, on voit très bien ce poussin faire des efforts pour sortir de l’œuf…


Tandis que les deux poussins s'agitent, Sylva récupère un morceau de poisson. Et après s'être nourrie, entreprend un nourrissage de l'aîné... Le nouveau étant, semble-t-il, encore à moitié dans sa coquille !

Les poussins paraissent toujours affamés, alors les nourrissages se multiplient. Reda assure un approvisionnement pléthorique avec en permanence un ou deux, voire trois proies déposées à côté de Sylva.


Du coup, on le voit plus facilement passer devant le Mont lorsqu'il se rend à la Loire...

ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES
ECLOSIONS ET NOURRISSAGES

Un conseil : ne ratez pas la troisième éclosion, sans doute très proche...

 

Et ne manquez à aucun prix les nourrissages des poussins, les scènes les plus émouvantes de la reproduction... Pour les cœurs sensibles ;-)

 

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Publié le par Jim
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La pause du Faucon

Vers la fin d'une journée grisailleuse et ventée, un petit Faucon crécerelle (Falco tinnunculus) se pose au sommet des grands Peupliers du Mont, où il va rester tranquille pendant près d'une heure...

En profitant, bien évidemment, pour faire de temps en temps un petit brin de toilette.

La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
La pause du Faucon
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Portrait : le Faucon crécerelle

 

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Faucon crécerelle à l'affût

 

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Publié le par Jim
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Oh, des Loriots !

Autant le Loriot d'Europe (Oriolus oriolus) se laisse entendre par un chant très spécifique (le "didelio"), autant il se laisse peu voir. Soit qu'il vole furtivement dans les hautes frondaisons ; soit qu'il chante perché sur la plus haute cime du voisinage.
 

Entendu une première fois il y a une quinzaine de jours, puis enregistré en forêt par le système de reconnaissance des chants d'oiseaux de notre BalbuCam depuis quelques jours, il revient faire des passages sur les branches mortes des grands Peupliers au fond de la prairie du Mont.

Et ce matin, alerté par des chants se répondant - auxquels j'avais tenté de joindre les miens - j'ai pu voir arriver, là où je les attendais, un mâle, puis une femelle... Les deux visiblement en poursuite dans un rituel nuptial...

Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !

Rapprochements et dérobades...

Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !

Notre ami Alban Larousse nous avait proposé ces superbes dessins d'un des plus beaux parmi les oiseaux d'Europe :

Oh, des Loriots !
Oh, des Loriots !

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Publié le par Jim
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La vie nocturne des Effraies

Sur le domaine de Latingy, notre ami José Gomez a installé un piège photo-vidéo devant l'entrée d'un nichoir à effraies installé il y a deux ans par Patrick Duhamel.


Voici sa vidéo : elle permet de visualiser l'activité de ces rapaces nocturnes, probablement au début d'une nouvelle reproduction...

L'an dernier, la reproduction avait sans doute abouti à trois poussins, mais seulement à deux jeunes à l'envol.


Nous avions pu en photographier un, posé sur la branche basse d'un Châtaignier voisin...

La vie nocturne des Effraies
La vie nocturne des Effraies
La vie nocturne des Effraies
La vie nocturne des Effraies

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Publié le par Jim
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Jamais d’œufs sans trois !

Alors que Sylva et Reda se sont retrouvés sur leur aire de reproduction le 17 mars, exactement comme en 2018, les deux premières pontes de la femelle sont intervenues elles aussi aux mêmes dates que l'an dernier, le 7 puis le 10 avril. Seule différence : au lieu de découvrir les œufs au petit matin, pondus sans doute pendant la nuit, nous avons été nombreux à "deviner" au milieu des après-midis que quelque chose s'était passé avant d'avoir, en même temps que Reda, la confirmation visuelle des pontes.

Jamais d’œufs sans trois !

Mettez-vous donc en observation pour découvrir en direct, sans doute demain samedi 13 avril au cours de l'après-midi, la troisième ponte attendue de Sylva !
En attendant, guettez les scènes d'apports de poissons, de passages de relais pour la couvaison, d'aménagements du nid...


La Saison 4 a démarré et se déroule à la perfection, notamment avec une entente parfaite du couple et une participation importante du mâle à la couvaison. Tout cela est de bonne augure pour la suite de cette belle aventure !

Jamais d’œufs sans trois !
Jamais d’œufs sans trois !
Jamais d’œufs sans trois !
Jamais d’œufs sans trois !
Jamais d’œufs sans trois !

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Impressions de printemps
Impressions de printemps
Impressions de printemps
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Impressions de printemps
Impressions de printemps
Impressions de printemps
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Impressions de printemps
Impressions de printemps
Impressions de printemps
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Impressions de printemps
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Publié le par Jim
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L'odyssée du loup

Ce soir sur France 4 :

Si vous n'avez pas vu ce documentaire lorsqu'il est passé sur France 2, ne le manquez pas ce soir à 21h sur la quatre !

Il est magnifique ; il montre un animal sauvage magnifique ; il raconte une belle histoire... Et on se demande sans arrêt comment ont pu être filmées ces scènes incroyables.

L'odyssée du loup
L'odyssée du loup

A défaut, vous devez pouvoir retrouver la vidéo sur Internet.

Et si vous voulez comprendre "comment ?", un "making-off" existe qui vous livrera des secrets très surprenants... tout en déflorant les si beaux mystères...

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